1. |
Lomechusa
02:36
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On ne m’a rien demandé, mais je déboule quand même.
Avec mon son pourav’, ma sale gueule, ma dégaine.
Pas pauvre, pas riche, juste un gars moyen.
Zikos approximatif avec peu de moyens.
Je fais ce que je veux, ce que je peux sans peur et sans reproche.
Et j’espère mettre le feu, voir les têtes hochées les mains hors des poches.
Lomechusa tu verras, c’est une putain de drogue.
Du genre qui te scotche au sol, te fout la tête dans les gogues.
Lomechusa puissant mais dangereux comme le nucléaire.
Lomechusa ça gratte comme un putain de pull en mohair.
Ca fait l’effet ça lance comme une carie sur une molaire.
Lomechusa ça nique, ça gratte, ça claque.
Ca frite pur comme une matraque, ça saute comme dans Matrix.
C’est hard comme du X, décapant comme l’ajax.
Bien glauque comme Mannix, hilarant comme Majax.
Tu verras c’est chic, loin du strass, du showbiz et du fric.
Lomechusa brise et laisse des traces tenaces.
Des stigmates ineffaçables, des souvenirs indélébiles.
Des moments ineffables, portés par deux débiles à qui.
On lui a rien demandé, mais qui déboule quand même.
Avec son son pourav’, sa sale gueule, sa dégaine.
Pas pauvre, pas riche, juste un gars moyen.
Zikos approximatif avec peu de moyens.
Il fait ce qu’il veut, ce qu’il peut sans peur et sans reproche.
Il espère mettre le feu, voir les têtes hochées les mains hors des poches.
Lomechusa tu verras, c’est une putain de drogue.
Du genre qui te scotche au sol, te fout la tête dans les gogues.
On ne m’a rien demandé
Mais je déboule quand même.
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2. |
Ne le dis à personne
02:15
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Peur sur la ville ils arrivent,
avec l’envie d’en découdre.
Les peurs ancestrales ils ravivent,
font pas dans la dentelle
z’ont pas de dés a coudre.
Reniflant leurs proies ils salivent,
pour ôter la vie Ils font parler la poudre.
Leur philosophie est primitive.
Le futur est déjà passé.
Des armures remplacées
par des gilets pare-balles.
Ne le dis à personne
mais tout se répète.
Ne le dis à personne
mais tous répètent la même rengaine.
Ce qui est passé n'est pas dépassé,
on en reparlera.
Crois moi, crois moi
Crois moi, crois moi.
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3. |
Endorphine
02:30
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Dans ma tête raisonne l'apocalypse
un chaos programmé
un destin à rayé.
Une sorte de déclic
qui fou le dawa.
Comme un vent de panique
qui s'agite à tout va.
Le temps se gatte,
mes souvenirs s'effacent.
Quand les ennuies nous traquent,
endorphine contre-attaque.
Quand les ennuies me traquent,
endorphine contre-attaque.
Des oublis en abondance,
je rejoins la démence.
Ca fait des trous dans la tête,
et plus de suite dans les idées.
Quand la folie nous traquent
le temps nous rattrape.
Quand les ennuies me traquent.
Quand la folie me guète
le temps se répète.
Allez c'est parti
je m'en donne a coeur joie.
En pleine agonie
je m'efface pas à pas.
Le néant m'envahi,
je retombe au plus bas.
En pleine agonie,
et mes sens en émoi.
Donnez, donnez moi mes cachets.
Donnez, Donnez !
Je suis aliéné.
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4. |
Cruel world
03:27
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It’s a cruel world,
a cruel world
.
Vas y gerbe, balance
crache ta haine.
Développe ta pensée
communie dans la peine.
Pense a panser les plaies
inocule toi le futur
fais table rase du passé
mais n'oublies jamais qu'il faut oublier.
You're broken, so broken.
You're so broken.
Les gens sont méchants.
On est tous des gros méchants.
It’s a cruel world,
a cruel world.
Crache, expulse
mâche pas tes mots.
Trasse, exhulte
, marche sur tes maux.
T'es sens dessus dessous,
pense a prendre le dessus.
Fatalement saoul, va falloir que tu sues.
Ne cherche pas des poux, laisse tomber ce qui pue.
Ne mouline pas le mou, remue plutôt ta mue.
Les gens sont méchants
.
On est tous des gros méchants.
Les gens sont méchants.
Ils endurent leur voisins,
sont jamais content.
Les gens sont méchants.
Ils jalousent leur voisins,
et gueulle a tout bout de champ.
On est tous méchant.
On endure nos voisins,
on n’est jamais content.
On est tous méchant.
On jalousent les voisins,
et on gueulle a tout bout de champ.
Les gens sont méchants.
On est tous des gros méchants.
It’s a cruel world,
a cruel world.
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5. |
La discothéqua
03:32
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M'a vu débouler devant la porte
m'a fait barrage avec ses potes.
“Toi mon ptit gars ça va pas le faire,
tu ne rentres pas, ça ne va pas plaire".
ok
J'ai pas le physique de Travolta.
J'ai pas la coupe de David Guetta.
J'ai pas les fesses de Shakira.
J'ai pas la thune du groupe Abba.
Je te sens pas, t’as trop bu et ça se voit.
Dégages de là, t’as pas la tête à ça.
Dis moi pourquoi je rentre pas
dans la discothèqua !
J'ai pas la gueule de l'emploi
pour la discothéqua !
Dis moi pourquoi je rentre pas.
Je vais pas béger, ni me rouler par terre.
Je veux juste entrer, boire un verre,
en matter une paire.
Fais pas ton kéké, y’en a qui sont rentrés bien plus pété.
Quand c'est non, c'est non.
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6. |
Contaminé (feat. Guitch)
02:46
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Ca te ronge, ca te bouffe ca te gratte
ca te fatigue et ca te rend patraque,
léthargique, saoul comme une barrique.
Elle agit sur toi te rend paranoïaque.
Impossible d'échapper ou de passer à l'as
elle t'a contaminé, tu en porte deja les traces.
Encerclé, enfermé voir méme conditionner
mieux préparer a surconssomer.
Contaminé, tu est contaminé.
Contaminé, nous sommes contaminé.
Partout autour des vies sont infectés
et nous sommes dépourvu de toutes immunité,
nous sommes endoctriné, empoisonné
emprisonner par la société.
Responsable d'un avenir que tu te voue a détruire
c'est une épidémie pour les générations avenir.
Il n'y a plus un endroit ou tu peut espérer fuir
pas de reméde, que va tu devenir ?
Contaminé, tu est contaminé.
Contaminé, nous sommes contaminé.
De l'air, de l'air
tu voudrai faire surface.
De l'air, de l'air
tu est noyer dans la masse !
Tu voudrai respirer, tu voudrai t'échapper !
De l'air, de l'air
tu voudrai faire surface.
De l'air, de l'air
tu est noyer dans la masse.
De l'air, de l'air
tu voudrai respirer.
De l'air, de l'air
tu voudrai t'échapper.
(tu est contaminé, nous sommes contaminé, elle t'a contaminé, elle m'a contaminé)
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LOMECHUSA France
Albums en vente via Bigcartel.
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